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lundi 28 décembre 2015

Debout la France : La révolution digitale ou un modèle de management qui permet l'innovation, la créativité et la prise de risque avec moins de hiérarchie

Extrait d'un édito de Daniel FORTIN dans les Echos du jour
 
"En quantité comme en qualité, la France ne produit pas assez, ni assez bien. Il est vital que le gouvernement prenne la mesure de ce problème l'an prochain. 
 
S'il faut, bien sûr, continuer à alléger les coûts de production de nos entreprises, il faut aussi permettre à nos producteurs d'accélérer la transformation de leur offre. De ce point de vue, il ne faut pas enterrer trop vite l'espoir d'un rebond français. 
 
L'une des rares bonnes nouvelles de 2015 aura été celle d'une réelle accélération de la révolution numérique dans notre pays."..." "le label FrenchTech a acquis ses lettres de noblesse à l'international
 
Dans les grandes entreprises, la prise de conscience d'une transformation profonde de l'offre a dépassé elle aussi le simple stade du discours de communicant" 
 
et Alexandre COUNIS précise de son côté :

L'année restera d'abord comme celle de la prise de conscience. «  On a longtemps pensé que le numérique était une révolution médiatique, puis que c'était une nouvelle économie. En 2015, on a compris que c'était un phénomène général de transformation de la société, qui n'épargnera aucun secteur ni aucun leader établi », souligne Benoît Thieulin, président du Conseil national du numérique. 

Plus un PDG du CAC 40 qui ne parle de Google ou d'Amazon comme de l'un de ses concurrents. Le risque d'« ubérisation » est dans toutes les têtes. Accor, qui annonçait dès la fin 2014 une remise à plat de sa stratégie pour contrer Booking.com, Expedia et Airbnb, a fait des émules. «  On commence à sentir que certains grands groupes ont de vraies stratégies numériques », relève Henri Verdier, à la tête de la Direction interministérielle du numérique et des systèmes d'information et de communication. 

Autre nouveauté : les grandes entreprises n'hésitent plus à aller au-devant des start-up. Orange y envoie ses cadres en immersion, ou dans des accélérateurs. BNP Paribas ou Saint-Gobain disposent de postes de travail dans le Partech Shaker, la pépinière créée par le fonds Partech Ventures. Et Renault lance son propre incubateur pour repérer les talents"

Même si Gilles BABINET reste réservé :"Même s'il y a une réelle prise de conscience, depuis un peu plus d'un an, de la magnitude de cette révolution, les entreprises françaises sont encore trop timorées. Souvent, on considère que la révolution digitale c'est de la technologie. Or, c'est avant tout un nouveau modèle de management qui permet l'innovation, la créativité et la prise de risque avec moins de hiérarchie. Sur ce sujet, les entreprises françaises ont encore du chemin à parcourir..."

soyons résolument optimistes. Notre créativité a tant à dire sur tous ces sujets. Que celles et ceux qui n'ont pas encore fait le voyage en Silicon Valley avec les Learning Expeditions REAL CHANGE,se lancent : effet de transformation garanti.

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